samedi 25 août 2012

La Marquise et Le Professeur dans La Secte du Vice

TRIPLE-PROGRAMME X FRANCAIS :

LA MARQUISE VON PORNO / LE PROFESSEUR RASPOUTINE / LA SECTE DU VICE

Mise à jour du double-programme initialement publié le 25/08/2012
Ajout de La Secte du Vice

Outre le fait d'introduire pas mal de sexe non simulé, les  oeuvres vedettes de ce nouveau rendez-vous 100% (ou presque) hexagonal chatouillent le fantastique et l'horreur, par le biais des deux individus peu fréquentables qu'elles présentent.

Tandis que l'un o(ri)fficie en tant que thérapeute/hypnotiseur sexuel le jour et étrangleur de femme la nuit, l'autre est carrément une sorcière quasi-immortelle.


Dans le corsé "La Marquise Von Porno", la noble très portée sur la chose et campée par Françoise Avril organise des orgies douloureuses dans son manoir. Ce que ses convives ignorent, c'est que la chaudasse dispose de pouvoirs surnaturels et d'une centaine d'années au compteur. 
Réfugiée derrière une façade anormalement juvénile, les expulsions de semence représentent pour elle un véritable bain de jouvence.

 Avec son recours à un fantastique gothique très convenu (château, salle de "torture", squelette) et à de la pornographie particulièrement agressive (soumission, flagellation, double péné et j'en passe), le rendu final ramène irrésistiblement aux mens(tr)uels Elvifrance de nos kiosques d'autrefois.
Comme précisé quelques lignes plus haut, le mot d'ordre de Carolyne Joyce, alias le talentueux Claude Pierson n'est pas ici d'exciter son audience (si l'on excepte toutefois l'unique scène hard de l'énigmatique et voluptueuse Camille) mais plutôt d'enchainer les déviances et autres pratiques bizarres telles qu'une auto-fellation voire un accouplement avec un trans. Bref, les amateurs de trash en auront pour leur liquide et videront volontiers leur bourse dans ce hard de la grande époque très appréciable et pourvu, signalons-le, d'un thème musical particulièrement réussi oscillant entre le rock progressif et l'épouvante. Pour un avis plus détaillé : http://www.psychovision.net/films/critiques/fiche/520-marquise-von-porno-la



"Le professeur Raspoutine", quant à lui, ne dispose pas à sa guise de pouvoirs surnaturels mais n'en parait pas moins monstrueux.
 Gabriel Pontello prête ses traits à cet être perfide qui, quand il n'abuse pas de ses clientes soumises à ses talents d'hypnotiseur dans son salon de thérapeute sexuel, étrangle et dépouille des auto-stoppeuses étrangères avec la complicité de sa femme.

Souffrant du syndrome dit du "Poisson rouge", "Le Professeur Raspoutine" enchaine ses séquences de manière très cyclique.
Ainsi voit-on Pontello déambuler au volant de sa bagnole de sport puis hameçonnage d'une auto-stoppeuse puis retour au bercail où la future victime est présentée à son épouse puis séquence discothèque où tout ce beau monde s'agite comme des cons devant des posters de la Hammer ou de Marilyn puis partie de jambes en l'air puis phase de consultation de Raspoutine dans son cabinet le lendemain puis retour à l'intrigue criminelle avec le meurtre de l'auto-stoppeuse dont le cadavre est trainé en forêt puis La Une des quotidiens avec défilés de manchette revenant sur l'affaire du "Tueur de l'Auto-Stop".
Le lendemain, re-belote avec Raspoutine cochant un nouveau jour sur son calendrier et... c'est reparti pour un tour !
Fort heureusement, nous largue-t-on en cours de route la délicieuse Marylin Jess dans une prestation hélas trop furtive.

Certes rébarbatif, ce X aux scènes hard étonnamment courtes n'en demeure pas moins une curiosité se hissant dans la bonne moyenne du genre, et bénéficiant, comme principaux atouts, d'un sous-contexte là encore horrifique (voir pour s'en convaincre sa conclusion grand-guignolesque) et de la présence de doubleurs professionnels apposant leur timbre de voix parfois immédiatement identifiables (dont Patrick "Bruce Willis" Poivey) sur des comédiens autrement plus "discutables".

Un autre élément le liant à Madame la Marquise : son thème musical lui aussi fort mémorable mais pas pour les mêmes raisons. Présentant une version alternative sous anxiogène du "Raspoutine" des Boney M, la composition risque de se nicher longtemps dans vos mémoires.

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Venant de rompre avec son petit ami, Virginie (Catherine Chavert) se voit proposer en guise de cadeau de consolation un séjour dans le Manoir de Monsieur Ducresnot (Jacques Marbeuf) par son amie Cathy (Cathy Stewart).
Maitre de maison décomplexé et attentionné, Monsieur Ducresnot occupe avant tout le poste de leader d'une secte démoniaque...

Deux années après un bien pénible "Cauchemar de Manuela" impliquant Olinka et Catherine Ringer, Joe de Palmer renoue avec le porno horrifique et de manière plus concluante.
Correctement réalisé et interprété, la (relative) réussite de "La secte du vice" se situe surtout au niveau d'un scénario principal certes éculé (à fond) mais fertile en idées tarabiscotées.
La motivation suprême de la secte en est une à elle seule : le sacrifice d'une vierge destinée à enfanter le démon passe par l'annihilation de tout poil pubien, représentation de la pureté absolue.
Tout comme dans "Rosemary's Baby", le Mal restera désespérément invisible. Toutefois, Jacques Marbeuf ne quitte jamais un drôle de gri-gri planqué dans sa poche : un mini-poupon en plastoc lâchant des plaintes d'outre-tombe à chaque fois qu'il le caresse. Glauque.
A aucun moment, le film ne cédera de toute façon à l'horreur démonstrative, misant plutôt sur un fantastique suréel comme dans cette scène où Virginie erre entre rêve et réalité dans les couloirs du château et assiste à de curieux ébats. Palmer y démontre sa faculté à appliquer  une ambiance fantasmagorique respectable, traduite par des effets de couleur "Bavaesques" et un objectif aux contours floutés.
Quant à l'aspect purement sexuel, le choix se porte judicieusement sur des cabrioles torchées en 3 minutes plutôt que sur des pipouzes taillées pendant des plombes. Soit l'exact opposé du triste porno d'aujourd'hui.
Figure imposée du genre, une bonne orgie des familles (de France) clôt la messe (noire) et permet à petits et grands de se retrouver pour le goûter final. L'occasion de laisser ses robes & masques de cérémonie au vestiaire, de s'échanger quelques fluides et de co-piner entre bons vivants. Dont les serviteurs Gabriel Pontello et Jean-Pierre Armand qui rejoignent la petite fête.
Hard décidément bien élaboré, "La secte du vice" osera l'ultime twist en forme de queue...de poisson.


Galerie "Le Professeur Raspoutine" :








Galerie "La Marquise Von Porno" :







Galerie "La Secte du Vice" :









Le Professeur Raspoutine - 1980

Titre Original : Ta' mej doktorn
Un film de Andrei Feher (François Daniel)
France / Suède
Genre : Porno / Horreur
Avec Gabriel Pontello, Françoise Sollier, Marianne Fournier, Dominique Troyes (Marilyn Jess), Hubert Géral...

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La Marquise Von Porno - 1977

Un film de Carolyne Joyce (Claude Pierson)
France
Genre : Porno / Fantastique / Horreur
Avec Françoise Avril, Camille, Jean Gerard, Richard Lemieuvre, Diane D'Osny, Laurence Thibault...

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La Secte du Vice - 1983

Autre Titre : Maitresse du Vice
Titre vidéo alternatif : Jouissances sadiques

Un film de Joe de Palmer
France
Genre : Porno / Horreur
Avec Cathy Stewart, Christine Chavert, Jacques Marbeuf, Michelle Villers, Olivia Florès, Jean-Pierre Armand, Mika, André Kay...


Le Professeur Raspoutine est proposé en version française.

http://www.multiup.org/fr/download/716803341dfe97173c7e8afc0a372df7/ProfRaspoutine.avi


La Marquise Von Porno est proposé en version française.
  
http://www.multiup.org/fr/download/ca092eb774ebbb57243a2b72ce581537/MarquiseVonPorno.avi


La Secte du Vice est proposé en version française.

http://www.multiup.org/fr/download/0a777d336c6d3476261634048f9d8532/LaSecteDuVice.avi

samedi 18 août 2012

Chris Mitchum Around the World

Triple-Programme :
Master Samurai / Stingray / Final Score






Espagne, France, Hong-Kong, Philippines, Thailande, Italie, Indonésie, Allemagne. On peut dire que Christopher Mitchum nous aura fait voir du pays au cours de son parcours cinématographique placé sous le signe de la Série B.
Né en 1943 à Los Angeles, le rejeton de Robert fraye au début de sa carrière avec le Duke Wayne qui le tasse sous son aile.
Après trois films tournés à ses côtés ("Chisum", "Rio Lobo" et "Big Jake"), au jeune Chris de s'émanciper avec pour commencer une escapade en Espagne. Etabli là-bas depuis le début des années 70, il ne tarde pas à décrocher un rôle principal, celui de Ray Castor dans l'excellent polar "Meurtres au soleil" d'Antonio Isasi-Isasmendi (http://www.psychovision.net/films/critiques/fiche/538-meurtres-au-soleil) aux côtés de Karl Malden et Olivia Hussey. Suivront deux autres productions de bonne facture, "Le bal du vaudou" (http://www.psychovision.net/films/critiques/fiche/45-bal-du-vaudou-le) d'Eloy de la Iglesia et "Ricco" (http://www.sueursfroides.fr/critique/ricco-1210), le polar très brutal de Tulio Demicheli.
Après le tournage du méconnu "La dynamite est bonne à boire", co-production entre l'Espagne et la France, Mitch Jr. prend un aller simple pour les Philippines où il va tourner deux films (en réalité trois mais ce dernier titre "Chinese commandos" demeurera inachevé) qui finiront d'asseoir sa (déjà) grande popularité en Asie : "Cosa Nostra Asia" ou "Mission suicide à Hong-Kong" par chez nous (initialement prévu au menu de ce triple-programme si la bande magnétique n'avait pas fait des siennes lors de l'encodage) de Bobby Suarez ainsi que :





Dans "Master Samurai" ou "The Agency" des frangins Jun & Cesar Gallardo, Chris incarne James Peterson, un (sous réserve) agent d'Interpol qui flingue et tatane à tout va.
Je ne possède que des souvenirs nébuleux de cette production assez rythmée et insérée dans l'urgence.
Je vous laisse donc le soin de le découvrir par vous-même...
Qualité d'image moyenne.

Retour ensuite au bercail pour notre baroudeur invétéré qui participera à quelques productions davantage luxueuses comme "La loi de la haine"avec Charlton et Coburn ou le "Tusk" de Jodorowsky. D'autres moins : le sympathique "Jour de la fin des temps" de John Bud Cardos ou bien l'épouvantable "Executioner part 2" de James Bryan.
Et au beau milieu de ce bric à brac :

Comme son titre le laisse présager, "Stingray" se catégorise dans "les films de bagnole", genre typiquement américain où les bolides ont la vedette.

Chris Mitchum y campe Al, un jeune rebelle insouciant embarqué dans une situation infernale avec son pote crétin Elmo (Les Lannom). Nos deux compères se payent une Stingray  planquant de l'argent sale dans son coffre. Un million de dollars que convoitent trois bandits emmenés par la très charismatique Sherry Jackson. Une authentique Terminator à chattes celle-là qui de ci, mitraille les bagnoles de flic travestie en bonne soeur de là, colle au cul de notre duo de risque-tout au guidon d'une moto-cross tout en usant de son fusil. A l'occase, elle use aussi d'un Mauser pour flinguer les innocents.

Furieusement sympathique, la pelloche de Richard Taylor fait honneur au genre en respectant scrupuleusement le cahier des charges, à savoir beaucoup de tôle froissée, un tandem de "buddy" attachant et qui fonctionne, de la country en fond sonore et surtout un ton joyeux qui emportent définitivement l'adhésion du spectateur.
Un cocktail gagnant qui évacue à coup sur tout stress et idées noires de la vie quotidienne.

C'est en 1984 que Chris entame son idylle avec le cinéma indonésien avec le pas très convaincant "La forêt explosive" où il croise les chemins de John Philip Law et même Barry Prima dans un rôle secondaire. 
L'accouplement engendrera deux autres métrages, tournés par le spécialiste local de l'action hyper-bourrinos  Arizal ("The Stabilizer", "Special Silencers", "Poings d'acier contre Main de fer") : "American Hunter" et surtout ce...


"Final Score" ? Comme dans un shoot'em up de ceux qui illuminaient nos défuntes bornes d'arcade vous voulez dire ?

Parfaitement. A l'instar du "Justicier de New-York", "Final Score" s'apparente à un jeu vidéo grandeur nature où l'on s'amuse à comptabiliser le nombre de morts, de balles tirées, de voitures pulvérisées et surtout les explosions, Arizal prouvant de façon incontestable qu'il est décidément le Maitre ès-BOOM.
Les jeeps, les trains, les bâtiments, les hors-bord : c'est simple, tout finit par sauter avec la méthode Arizal.

Devant la maigreur du scénario, on soupçonne d'ailleurs notre homme d'avoir posé une charge de C4 sur le script initial qui devait peser 400 pages à n'en point douter.

Jugeons-en : Fiston Mitchum s'y fait occire/tabasser/violer/cribler de plomb sa femme et son chiard en début de bande par les hommes de main de l'industriel véreux Mike Abbott---> il se venge ---> il les dessoude par paqueton de 50.
Parfois de façon fort sauvage : charge explosive ajusté devant les couilles d'un gus, tisonnier chauffé planté dans le cul, hache encastré dans le dos.
A la fin, il s'embarasse plus, il y va à la moto sulfateuse cracheuse de missiles. Du coup, il empoche pas mal de parties gratuites.
Le spectateur, quant à lui, complètement soufflé et conquis par tant d'action ABSOLUMENT SANS TEMPS MORT n'hésitera pas à remettre des piécettes dans la fente histoire de remettre les compteurs à zéro.
GAME OVER (ou pas loin) en revanche pour certains figurants kamikazes dont on est en droit de se demander si ils sont toujours de ce monde après certaines cascades hallucinantes.


Souvent pointé du doigt pour son visage jugé impassible en toute circonstance et le jeu d'acteur restreint qui en découle, il est clair que s'il n'est pas le comédien le plus expansif du milieu, Chris Mitchum peut se targuer d'avoir traversé plusieurs pans entiers du cinéma de genre, avec parfois beaucoup de succès (c'était une véritable star en Asie, plus particulièrement au Japon).
Il doit être souligné que l'homme, n'hésitait pas à donner de sa personne lors des nombreuses scènes d'action jalonnant ses films, parfois sans aucune doublure.
Assez crédible lors des combats à main nu, il est également fréquent de le retrouver derrière les guidons de deux roues, sa marque de fabrique en quelque sorte depuis "Meurtres au soleil".

Pour davantage d'infos sur ce bonhomme imposant naturellement la sympathie, il est recommandé de visiter ce lien où il accorda une très longue interview au tenancier des lieux : http://bamboogodsandbionicboys.blogspot.fr/2010/01/chris-mitchum-interview-december-2009.html
Beaucoup d'anecdotes passionnantes et de photos rares, notamment issues du tournage de "Master Samurai".


Galerie "Master Samurai" : 








Galerie "Stingray" :








Galerie "Final Score" :










BONUS : TRAILERS

Final Score


Stingray


Master Samurai - 1974

Titre Original : The Agency
Un film de Cesar & Jun Gallardo
Philippines
Genre : Action
Avec Christopher Mitchum, Von Serna, Larry Chiu, Cesar Ramirez, Rosemarie Gil, Romeo Rivera...

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Stingray - 1978

Un film de Richard Taylor
USA
Genre : Action / Comédie
Avec Christopher Mitchum, Les Lannom, Sherry Jackson, William Watson, Bert Hinchman, Cliff Hemmich...

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Final Score- 1986

Un film de Arizal
Indonésie
Genre : Action
Avec Christopher Mitchum, Mike Abbott, Ida Iasha, Zainal Abidin, Dicky Zulkarnaen...


Master Samurai est proposé dans sa version française d'origine.

https://rapidshare.com/files/2422228356/Master%20samurai.avi



Stingray est proposé en version française.
  
https://rapidshare.com/files/2291770290/Stingray.avi

   
Final Score est proposé en version française.
  
https://rapidshare.com/files/284825409/Final%20score.avi



















mardi 14 août 2012

Massacre Party Video

Bonjour les monstres,

Après 1 mois de silence radio, quelques éclaircissements sur l'avenir du blog déjà évoqués dans le sujet consacré au "Couvent en chaleur" :


Très franchement, l'idée et même l'envie de stopper l'aventure m'ont traversé l'esprit à maintes reprises.
Pour de multiples raisons (là encore, se reporter aux commentaires laissés sur "Le couvent en chaleur"). Les majeures étant :

- une rarification constatée depuis 3, 4 mois maintenant et de plus en plus prononcée de remerciements alors que paradoxalement, les téléchargements s'envolent. Je me doute bien que ces statistiques englobent pas mal de visiteurs non-francophones. Ceux-là, je les excuse. Non, je pointe du doigt les éternels assistés et gros dégueulasses bien d'chez-nous qui se servent avec leurs paluches toutes crades sans remercier. Mais ça doit être dans leurs habitudes de téléchargeurs compulsifs je suppose.
Une bien sale ingratitude face à un acte de partage gratuit et de service rendu (où comment économiser son salaire face à certains titres aux prix de vente parfois exorbitants sur Price et consorts, quand ils ne sont pas purement et simplement indisponibles sur ces sites bien connus).

- un manque d'échange et de discussion autour des films proposés, rendant le tout assez clinique. Positif comme négatif, bref comme long, un retour sur un film est toujours appréciable. Exprimez-vous, les copinches (même si certains le font spontanément et je les en remercie), j'vous assure que ça flatte la motivation.

- et puis tout simplement, cette même motivation qui me déserte de plus en plus, et pas nécessairement à cause des deux points noirs cités en amont mais tout simplement plus trop d'envie ni de plaisir dans cette entreprise exigeante (toute relative comparé au travail de repack mais 'scusez, j'sais pas faire personnellement).

 NEANMOINS, afin de ne pas pénaliser les membres et visiteurs parmi les plus actifs et intègres (en gros, ceux ayant réagi au sujet "Couvent en châleur" ainsi que d'autres probablement encore en vacances qui se reconnaitront), j'ai décidé de continuer l'aventure mais sous une forme unique : celle du double-programme (voire du triple).
C'est bien la seule formule à me procurer encore de la satisfaction. Pour vous aussi je l'espère.
L'idée de tisser des liens, parfois évidents, parfois pas du tout entre 2 (ou 3) oeuvres m'a toujours emballé et puis c'est une forme de clin d'oeil aux soirées Bis de la cinémathèque qui perdurent depuis trois décennies maintenant.

Au passage : pas question de passer du côté de la privatisation ni même à la quémande de mot de passe. J'espère juste (peut-être naïvement) un peu plus de spontanéité de votre part.
Si la tendance actuelle n'est pas inversée, VPM fermera définitivement ses portes.

En attendant, à bientôt pour le premier doublé d'une, allez savoir, longue série.
Et en guise de maigre indice pour patienter, disons simplement que ce prochain rendez-vous concernera un acteur-baroudeur-globe trotter du bis.

Throma.